Les Bienveillantes
O romance-sensação de Jonathan Littell, Les Bienveillantes, de que falámos já aqui e que foi considerado pela revista Lire o melhor romance do ano em França, será agora publicado em português, pela D. Quixote. O tradutor será João Alfacinha da Silva. Recorda-se que se trata de uma monumental primeira obra deste autor norte-americano, que escreve em francês, e à qual foram atribuídos o Grande Prémio do Romance da Academia Francesa e o Goncourt.
1 Comentários:
Recomenda-se vivamente Les Malveilllantes.
Ainda a propósito, um breve comentário de Robert Faurisson sobre o novo e promissor best-seller internacional:
Les jurés du prix Goncourt ont un faible pour la littérature holocaustique à la manière d’André Schwarz-Bart (plagiats, clichés, outrances de Grand Guignol dans le sperme, le sang et, surtout, la matière fécale, dont le Talmud est si friand).
Pour l’année 2006 ils se devraient de couronner le roman de Jonathan Littell, l’auteur juif du roman intitulé Les Bienveillantes (Gallimard). « Les Bienveillantes » sont le nom donné aux Furies.
« Le narrateur, une sorte de Tom Ripley [une sorte de Joseph Rouletabille] en uniforme SS, ne fait que patauger dans le sang et la merde (sans oublier le sperme, bien entendu !) en tenant, la plupart du temps, des propos aussi peu intéressants que ceux que l’on trouve dans une certaine littérature de gare et de guerre » (Peter Schöttler, « Tom Ripley au pays de la Shoah », Le Monde, 14 octobre 2006, p. 19).
Comme il se devait, J. Littell s’est vu décerner le prix Goncourt. Peu auparavant il avait reçu le Grand Prix de l’Académie française. L’opération qui s’est développée autour de la sortie de son roman mérite de trouver place dans l’histoire du Shoah Business. A ce sujet on découvrira une partie des faits et des chiffres dans une « analyse » de Florence Noiville publiée (Le Monde, 29-30 novembre, p. 2) sous le titre parlant de : « Des ‘Bienveillantes’ sonnantes et trébuchantes ». L’article s’ouvre sur la phrase suivante : « Ce pourrait être une belle étude de cas pour étudiants d’écoles de commerce ». L’agent de J. Littell est le juif britannique Andrew Nurnberg, dont le rôle semble avoir été déterminant dans ces fort juteuses tractations commerciales.
De son côté, dans le même journal, Bertrand Legendre signe à propos du best-seller une « analyse » intitulée « Du côté des bourreaux » (Le Monde, 5-6 novembre, p. 2). Il écrit ingénument : « Cela fait deux ans que les livres consacrés aux criminels nazis, à Hitler et à ses proches, suscitent un regain d’intérêt. » Il ne fournit aucune explication au phénomène. Or, pour qui pratique la littérature de la Shoah, l’explication de ce phénomène,– qui remonte à une dizaine d’années et non à deux ans,– est patente : elle tient à la déroute des Raul Hilberg, Arno Mayer, Jean-Claude Pressac, Philippe Burrin, Robert Jan van Pelt, Florent Brayard et tous autres devant l’offensive révisionniste. L’incapacité, de plus en plus visible et embarrassante, de ces historiens à nous fournir des preuves de leur thèse a produit un mouvement de panique chez les religionnaires et les commerçants de la Shoah. Les chantres de la Shoah ont décidé que, là où l’histoire échouait, il fallait s’en remettre à l’imagination (appelée « l’imaginaire ») et à ses œuvres : le roman, le théâtre, le film, toutes les formes possibles de spectacles, et même « le kitsch ». C’est ainsi que « la Mémoire » a pris le relais de l’Histoire. Ce qui reste de livres d’histoire porte la marque de plus en plus visible de la propagande. Il n’est plus du tout possible de publier d’oeuvres SUR Hitler mais seulement CONTRE Hitler ; La Chute, film grand-guignolesque, ne fait pas exception.
Le phénomène s’aggravera à mesure que l’Etat d’Israël s’acheminera vers sa disparition. Nous aurons alors droit à l’hystérie du « Second Holocauste ».
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